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© OliveOlivier, Quand on touche le vide, on heurte le plein (détail), gaufrage sur papier, 2014
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Après des études d’arts plastiques à l’université Paul Valéry de Montpellier, OliveOlivier poursuit sa formation à l’ICART Paris d’où il sort diplômé en 2002. Il présente ainsi son travail :
« Ma pratique questionne la notion de traces et s’inscrit dans un contexte « citationnel ». Mon travail emprunte, cite, se réfère aussi bien à des auteurs qu’à des expressions idiomatiques ou à mes propres écrits. L’histoire de l’art, la philosophie, la politique ou les calembours visuels peuvent être convoqués, agissant tels des prétextes, matière première pour mettre en place des formes plastiques signifiantes. Le langage est donc l’autre composante essentielle de mes recherches. Je le mets en scène au cœur de mes réalisations, ou juste à côté de celles-ci (cartels, références induites). Il y apparaît de façon ostentatoire ou en filigrane, « en creux », au moyen de divers procédés. Si je privilégie les « objets » et les installations (la notion d’in situ traversant une partie de mon travail), je ne m’interdis pas de recourir à plus de langages formels. A titre d’exemple, je m’intéresse depuis peu aussi bien à d’autres médias tels que l’édition qu’à d’autres champs d’études tels que l’archéologie. Au-delà de la double problématique de ma démarche artistique qui s’articule autour des traces et du langage, je tente de pratiquer un art du décalage, du « pas de côté ». Je conçois ma pratique comme une activité de recherche, un jeu sémantique et formel avec lequel j’essaye de générer de la pensée. »
Liens :
> entretien avec Léo Bioret sur le site collectif_R
Contact : contact@oliveolivier.com
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