[vc_row][vc_column width= »2/3″][vc_tta_accordion active_section= »0″ title= »Numéro 3″ collapsible_all= »true »][vc_tta_section title= »Présentation » tab_id= »1438864419684-c7a9eca1-a211″][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_column_text]
Le troisième cahier, être contemporain ? interroge le terme « contemporain », ses enjeux dans l’art et la pensée actuelle à travers la diversité des pratiques artistiques.
Encrages, cahiers d’esthétique
N°3 : être contemporain ?
Paris : L’Harmattan, février 2003, 124 p., ill. noir et blanc
- 21,5 x 13,5 cm
- SBN : 2-7475-3836-2
- 11€
Rédaction
Encrages, cahiers d’esthétique est une publication collective qui traite de questions sur l’art ancrées dans le monde contemporain. Ouvrage conçu par Michèle Atchadé avec, pour ce numéro, la collaboration de : Alioune Bâ, Jorge Bravo-Salgado, Catherine Chrétien Maffre, Christine Davenne, Isabelle Dormion, Martine Lacas, May Livory, Valérie Livory, Fanny Marin, Sabine Meier, Alain Monvoisin, Joëlle Naïm, Marko Pajevic’, Silke Schauder, Olivier Schefer, Franco Toscani, Ivan Toulouse, Raom&Loba, James W. Underhill, Antonio Romano, Carole Wahnoun et Yves Yacoël.
Sommaire
| Michèle Atchadé | Editorial : Le phénomène contemporain | 5 |
| Essais-Analyses | ||
| Ivan Toulouse | être contemporain (!) | 8 |
| Christine Davenne | Le contemporain, l’ennui, l’intimité | 16 |
| Alain Monvoisin | L’année du bicentenaire… ou de l’assimilation progressive de la déception | 25 |
| Silke Schauder | Camille Claudel – contemporaine de l’éternité Quelques notes sur son œuvre | 32 |
| Olivier Schefer | Kunstchaos | 48 |
| Marko Pajevic’ | Contemporanéité et présence | 54 |
| James Underhill | Faut-il vraiment être contemporain ? | 59 |
| Question de regard | ||
| Joëlle Naïm | être (ou ne pas être) contemporain | 70 |
| Isabelle Dormion | Contemporains | 73 |
| May Livory | Terminologie des rumeurs malignes (extraits) suivi de de Transe contemporaine | 74 |
| Jorge Bravo-Salgado | Plus » position » que » substance » | 84 |
| Ouvertures | ||
| Fanny Marin | De déprime en désespérance | 89 |
| Catherine Chrétien Maffre | Acculturation | 94 |
| Ancrages sur…. | ||
| Valérie Livory | Yves Yacoël, le pastilleur Ou l’art du virtuel fait à la main | 98 |
| Martine Lacasi | Eloge de l’absent Trois photographies de Sabine Meier | 102 |
| Carole Wahnoun | Entretien avec Alioune Bâ | 110 |
| Franco Toscani | Antonio Romano Enigmes de la perception | 118 |
[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_tta_section][vc_tta_section title= »Extrait » tab_id= »1438864420899-40029136-9067″][vc_column_text]Etre contemporain ? Nous le sommes effectivement parce que nous vivons aujourd’hui. Mais, si cela pose question, c’est parce qu’il y a toujours des difficultés à prendre de la distance par rapport à ce qui a lieu au présent. Les phénomènes culturels et politiques dont s’entoure « l’art contemporain » et dont nous percevons les effets dans les manifestations, les enseignements artistiques et les écrits sur ou à propos de l’art, soulignent la nécessité de savoir quel regard nous pouvons porter sur eux et quelles attitudes ils provoquent.
Ces nouvelles postures et ces représentations « contemporaines » sont-elles le fruit d’une idéologie dominante, d’effets de mode ou de la conscience que chacun a des mutations qui s’opèrent aujourd’hui : celles dont sont porteuses les nouvelles technologies, et celles que véhiculent les artistes, les écrivains et les penseurs qui font l’art aujourd’hui ?
Nous amorcerons, dans ce numéro, notre analyse de ce « phénomène contemporain » au-delà de sa seule inscription dans le temps présent. Nous tenterons de cerner dans nos pratiques, aussi singulières soient-elles, ce qui fait qu’une œuvre est vivante, contemporaine, jusqu’à dépasser sa stricte actualité. Comprendre ce phénomène, c’est aussi être acteurs critiques de l’art dans la société actuelle
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